François Champart, jeune papa, nous explique la situation dantesque dans laquelle il s’est retrouvé pour avoir demandé que son fils de 7 ans ne porte pas de masque qui l’empêche de respirer, et aussi pour avoir voulu ouvrir le débat sur le protocole sanitaire pour les enfants à l’école. 

L’institutrice de son fils a déposé plainte contre François.

La gendarmerie transforme la plainte de l’institutrice en main courante, donnant raison à François mais la substitut du Procureur de Béziers s’en mêle. 

Elle considère les 3/4 mails de François comme un délit de menace, intimidation et violence sur un fonctionnaire d’état dans le but de l’empêcher de mener à bien sa mission. François a eu « le choix » entre un « stage de citoyenneté » et 150 000 (pas 100 000) € d’amende & 10 ans de prison. Il a refusé le « stage de citoyenneté ».

Lundi 30 mai, c’est le procès à 14h.

300 personnes sont au place en soutien.

Après 2 heures d’un procès théâtral, avec un procureur au sommet du grand-guignolesque, le juge annonce que le verdict sera rendu le 27 juin (comme Merlin).

• L’avocate de l’institutrice requiert 2000€ d’amende et 600€ de frais d’avocats à la charge de François 

• Le procureur général veut 6 mois de prison avec sursis pour François, pour une période probatoire de 18 mois.

Ce procès était une suite d’inversions accusatoires : le procureur parlait de la responsabilité de François et de la protection de l’institutrice et de la République. Or le procureur omet de parler de la responsabilité d’un Tribunal qui peut condamner à de la prison (même avec sursis) un papa qui défend son enfant et de la protection que François requiert pour les enfants qui subissent troubles psychologiques, sociaux et d’apprentissage avec un masque qui n’a jamais prouvé ni son efficacité ni son innocuité ?

Après cette belle journée de mobilisation et le théâtre du Tribunal avec un procureur dramaturge, on se retrouve sur la plage de Portiragnes, près de Béziers, François nous raconte ses premières impressions.

Le verdict rendu le 27 juin 2022 :

  • 6 mois de prison avec sursis
  • 2000 euros pour l’institutrice 
  • Une autre amende pour le Trésor Public (dont le montant n’est pas connu encore)

Sources

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